<32> pouvoient me rester avec la Reine D'hougrie préférant autant quil e.îoit possible la voye de la douceur a celle de la force. tout le mois de may sepassa en négociations, lus saxsous jaloux de mes succès et de mon agrandissement remuèrent tous les ressorts de leur politique pour me susciter des ambaras er me perdre ils avoient dressez un pian de quelle façon eux, les rusieus et les hanovriens, se vouloient partager mes états, les intrigues du marquis de Botta et les charmes de Lenard joint à L'ambition du comte ostermant avoient causés la disgrâce de munich; les lettres de limperatrisse douariere, et de la vielle duchesse de Brunsvic Blanquembourg sa rnere avoient déterminez le faible génie du prince antoine ulric en faveur de la reine D'hongrie; la rusie etoit prête a faire une invasion en prusse, un bon nombre de troupes etoient en Livonie. et Oourlande, le lord finch animoit et poussoit cette opération de toute ses forces, et le Roy d'angleterre avec la saxse dévoient opérer en même temps du coté de la vielle, et moyens marche ; et pour gagner le temps qu'il faloit a ces puissances pour prendre leurs arangements elles tenoient envers moy un langage flateur.

Damit schliesst der Petersburger Text.

Voltaire schreibt an den König Juni (?) 43 (XXII, 129) : vous m'envoyez ... une préface digne de vous, qui annonce un ouvrage digne de la préface ... je vous avouerai cependant, grand roi, ayec ma franchise impertinente que je trouve que vous vous sacrifiez un peu trop dans cette belle Préface de vos Mémoires. Pardon ou plutôt point de pardon! vous laissez trop entrevoir que vous avez négligé l'esprit de la morale pour l'esprit de conquête! [Die oben angeführte Stelle vom 8. IX. 43 bezieht sieh nicht auf die Memoiren].