<13>

20. Eloge de la paresse 1768. 8°. 15 S.

[XV, 12; 494]

Handschrift : - Originaldruck* : Bibliothek der Prinzessin Amalie (Joachimsthalsches Gymnasium) mit dem Vermerk von der Hand der Prinzessin : cette pièce est du Roi au Marquis d'Argens. Druckort (Chatullrechnungen im Königlichen Hausarchiv) : Par ordre de Sa Majesté imprimé six exemplaires de l'Eloge de la paresse; toutes les épreuves ayant été déchirées; papier et impression 6 Th.

certifié       G. L. Winter

de Beausobre       le 26 de Julien (!)

An d'Alembert 4. VIII. 68 (XXIV, 440) : je vous envoie la belle dissertation que j'ai composée à la louange de la paresse. Vous y trouverez une érudition légère et une profondeur superficielle, qui doivent dans le siècle où nous vivons faire la fortune de cet ouvrage. Il m'a réconcilié avec le marquis. d'Alembert an den König 16. IX. 68 (XXIV, 441) : quelque éloge que V. M. fasse de la paresse dans l'ouvrage charmant, qu'Elle m'a fait l'honneur de m'envoyer ... je crois le Marquis aussi pénétré que moi de cet axiome.

vgl. den Brief d'Argens an den König v. 14. XII. 68 (XIX, 423).

21. Discours prononcé à l'assemblée ordinaire de l'académie Royale des sciences et belles-lettres de Prusse le jeudi 11 janvier 1770. Berlin chez Chrétien Frédéric Voss 1770. Essai sur l'amour-propre envisagé comme principe de morale. 8°. 32 S.

[IX, 85; 368]

Handschrift : - Originaldruck : Sammelband mit dem Aufdruck P, d.h. aus der Bibliothek des Königs im Stadtschloß in Potsdam (später Königliche Hausbibliothek); Bibliothek der Prinzessin Amalie (Joachimsthalsches Gymnasium) u. s.

An Voltaire 4. I. 70 (XXIII, 147) mit einer Abschrift des Essai von Villaumes Hand Je vous envoie un mémoire destiné pour l'académie. Le sujet est grave, la matière est philosophique. An d'Alembert 4. I. 70 (XXIV, 469) : Je fais de mauvais mémoires pour l'académie, dont vous verrez ici un échantillon. An Voltaire 17. II. 70 (XXIII, 149) : cet ouvrage qui roule sur des idées dont on trouve le germe dans l'Esprit d'Helvetius et dans les Essais d'Alembert; l'un écrit avec une métaphysique trop subtile, et l'autre ne fait qu'indiquer ses idées. An Prof. Steinbart 16. III. 70 (XX, 15) : En prenant l'amour-propre comme principe de la morale je n'ai point prétendu exclure les autres principes.

22. Dialogue de morale à l'usage de la jeune noblesse. à Berlin chez G. J. Decker imprimeur du Roi 1770. 8°. 37 S.

[IX, 99; 362]

Handschrift : Geheimes Staatsarchiv Autograph : Catéchisme de morale à l'usage de la jeune noblesse. 4 Bl. Originaldruck Sammelband mit dem Aufdruck P, d.h. aus der Bibliothek des Königs im Stadtschloß in Potsdam (später Königliche Hausbibliothek). Sammelband mit dem Aufdruck S, d.h. aus der Bibliothek im Neuen Palais. Sammelband mit dem Aufdruck V, d.h. aus der Bibliothek in Sanssouci Bibliothek der Prinzessin Amalie (Joachimsthalsches Gymnasium) u. s. Druckort : In einem uns zu Gesichte gekommenen Exemplare ist handschriftlich bemerkt, dass der Dialog in französischer Sprache vom König und diese deutsche Übersetzung von Ramier sei, auch dass beide von Sr. Exc. dem Gen. Lieut. von Buddenbrock, dem Chef des Kadettencorps, auf S. K. M. Befehl zum Druck befördert Preuss Friedrich der Grosse als Schriftsteller 1837 204. Am 29 III. 1770 ausgegeben (IX p. XIV). An die Kurfürstin von Sachsen 25 II. 70 (XXIV. 192) : je l'ai chargé de Vous offrir cet Essai de morale ... toutefois puisque Vous daignez mettre le sceau de Votre approbation à cet ouvrage, ce sera un encouragement pour l'auteur de travailler à ce catéchisme dont tout le mérite consiste dans sa simplicité. An Voltaire (3. IV. 70) (XXIII, 152) : le premier usage que je fais de ma convalescence est de remercier l'Orphée ou l'Apollon qui me l'a procurée et de lui envoyer en tribut une