<XVII>bourg, 1789, t. VI, p. 322, 323, 324. Voyez J.-D.-E. Preuss, Friedrich der Grosse als Srhriftsteller. Ergänzungsheft. Berlin, 1838, p. 58 et 59.

Quant à la Variation d'un passage de Zaïre, de 1781, nous l'avons tirée de l'ouvrage de C. de Seidl, Friedrich der Grosse und seine Gegner. Gotha et Erfurt, 1819, t. I, p. 34.

On trouve plusieurs variations semblables dans le corps même des poésies du Roi, p. e. t. X, p. 30, 70 et 263.

XLVII. LA CHOISEULLADE, FACÉTIE.

Cette Facétie (probablement de l'automne de l'année 1769) a été publiée dans le Supplément, t. I, p. 285-292, dont nous reproduisons le texte.

XLVIII. LA GUERRE DES CONFÉDÉRÉS, POËME.

Ce poëme, imitation de la Guerre civile de Genève par Voltaire (1768), n'a été publié que dans le Supplément, t. I, p. 185-260. Le 18 novembre 1771, le Roi écrivait à Voltaire : « Pour vous rendre compte du reste de mes occupations, vous saurez qu'à peine eus-je recouvré l'articulation de la main droite, que je m'avisai de barbouiller du papier, non pour éclairer, non pour instruire le public et l'Europe, qui a les yeux très-ouverts, mais pour m'amuser. Ce ne sont pas les victoires de Catherine que j'ai chantées, mais les folies des confédérés. Le badinage convient mieux à un convalescent que l'austérité du style majestueux. Vous en verrez un échantillon. Il y a six chants. Tout est fini, car une maladie de cinq semaines m'a donné le temps de rimer et de corriger tout à mon aise. » Le Roi envoya son ouvrage à d'Alembert, les deux premiers chants le 30 novembre 1771, les deux suivants le 26 janvier 1772, le cinquième le 7 avril, et enfin le dernier le 17 septembre 1772.

Faute de manuscrit, nous suivons le texte ci-dessus mentionné.

Denina raconte dans sa Prusse littéraire, t. II, p. 80, et dans son Essai, sur la vie et le règne de Frédéric II, p. 341 et 420, que le Roi communiqua son poëme à la cour de Saint-Pétersbourg.