7155. AU CONSEILLER PRIVÉ DE LÉGATION JEAN-DIDIER DE MALTZAHN A DRESDE.
Maltzahn berichtet, Dresden 15. December; „Le comte Broglie évite toute occasion où il craint que je ne puisse faire des questions sur sa négociation.“ 446-1 In einem Postscriptum berichtet Maltzahn, er werde diejenigen Depeschen Funcke's, welche der über die russische Staatsconferenz446-2 vorangingen, nachträglich durchsehen und über ihren Inhalt berichten: „pour éclaircir ce qui peut avoir donné lieu à la tenue de ce conseil | Berlin, 23 décembre 1755. J'ai reçu votre rapport du 15 de ce mois. Ne soyez point embarrassé du silence que le comte de Broglie affecte, en ne vous point parlant de sa négociation; tout au contraire, ma volonté est que, quant à son égard, vous ne devez pas marquer la moindre curiosité pour savoir de lui le succès de sa négociation, mais faire plutôt semblant comme si ce sujet vous était une affaire tout-à-fait indifférente. Pour ce qui regarde, au surplus, le contenu du post-scriptum de votre susdite dépêche, je suis bien aise de vous dire que la malice du chancelier Bestushew et des gens de son complot contre moi est énorme et sans exemple,446-3 mais que, malgré cela, j'ai mes raisons pour n'en être guère en peine. En attendant, vous devez tâcher au mieux de me procurer les avis de ces infamités, et, s'il est possible que vous puissiez me faire tenir in extenso la copie d'une des minutes de ce que le premier ministre saxon a répondu à ces rapports dont vous m'avez [remis] l'extrait, je vous en saurai un gré tout particulier. Federic. |
Nach dem Concept.
446-1 Vergl. S. 436.
446-2 Vergl. S. 430 Anm. 1; 436 Anm. 7.
446-3 Vergl. Nr. 7147.