33. A MYLORD MARISCHAL.

315-aJe vous suis très-obligé, mon cher mylord, des bonnes graines de melon que vous avez la bonté de m'envoyer. Je ne vous prendrai point votre tabac; je ne suis point d'humeur à détrousser un pauvre voyageur, ni de violer les droits de l'hospitalité. Je ne vous en ai pas une moindre obligation, et je ferai venir des magots de Berlin et de Chine pour votre correspondante.


315-a Cette réponse se trouve, dans le manuscrit, sur la même feuille que la lettre précédente.