72. AU MÊME.

Potsdam, 10 août 1777.

Monsieur le comte de Hoditz, j'ai trouvé dans votre lettre d'hier les nouveaux points relatifs à l'arrangement de vos affaires. Soyez certain que je ferai l'impossible en votre faveur, et que je n'omettrai rien de tout ce qui pourra contribuer à la réussite de vos vues. J'ai reçu aujourd'hui mes lettres de Vienne. La façon dont cette cour s'explique à votre sujet est des plus obligeantes, et les dispositions favorables qu'elle paraît vous conserver semblent lever toutes les difficultés. Tranquillisez-vous seulement, en attendant avec patience la décision de votre sort, persuadé comme vous devez l'être qu'elle répondra entièrement à vos désirs. Sur ce, monsieur le comte de Hoditz, etc.