162. A LA MÊME.

Soor, 2 octobre 1745.



Ma très-chère sœur,

Nous venons de battre les Autrichiens, ou vos Impériaux, selon qu'il vous plaira de les nommer. Je crois qu'ils en auront tout leur soûl. Mes frères se portent fort bien. Nous pensons à présent à prendre des quartiers d'hiver. Adieu, ma chère sœur; je suis, etc.