20. AU MÊME.

Neisse, 21 août 1769.

Monsieur le comte de Hoditz, il ne se peut rien de plus affectueux que le contenu de la lettre que vous m'avez écrite le 20 de ce mois. Vous connaissez l'amitié que j'ai pour vous; elle me fait désirer l'affermissement de votre santé, et vous êtes sans doute persuadé, par les sentiments que vous me connaissez pour vous, que je m'intéresse véritablement à votre conservation, et que je vous souhaite longues années de vie. Je serai charmé de vous voir ici, selon que vous me le faites espérer, et je veux bien ne pas vous laisser ignorer que S. M. l'Empereur compte d'y arriver le 25 de ce mois. Sur ce, etc.