3. A LA MÊME.

Camp de Wotitz, 25 septembre 1744.

Je suis charmé d'avoir vu par votre lettre avec combien de précaution vous avez insinué à S. M. la Reine douairière la mort du digne prince Guillaume. C'est donc à vos soins que l'adoucissement de cette affligeante nouvelle est dû, ce dont je vous remercie de bien bon cœur, étant au reste

Votre affectionné roi.



158-aMa bonne maman Camas,

Vous êtes la meilleure personne du monde. Je vous embrasse de tout mon cœur pour les soins que vous prenez de ma chère mère; je vous prie de continuer de même, et de ne vous point inquiéter sur<159> le sort d'un individu qui n'a d'autre mérite que de vous être entièrement attaché.


158-a De la main du Roi.