<6>Mais si tu causes des alarmes,
Tu nous délivres de nos maux,
Car nos chagrins, que tu désarmes,
Cèdent la place au doux repos;
Et c'est cette aimable magie
Qui nous fait ton apologie.
Nous sommes nés pour les malheurs;
Sans toi s'accroîtraient nos misères,
Et les matrones, plus sévères,
N'auraient pas de consolateurs.

Ce 22 janvier 1737, à Remusberg.

Frederic.