Anhang.

Die nachstehenden Schriften waren nicht für die Öffentlichkeit bestimmt. Sie sind nur deswegen mit aufgeführt, weil sie in die Akademische Ausgabe aufgenommen sind.

68. Sermon sur le jour du jugement.

Königliches Hausarchiv Aut. auf schwarzgerändertem Papier (aus de Catts Nachlass) danach zuerst gedr. XV. 1. de Catt Memoiren (Publ. XXII. S. 222) : (Auf. 1759 in Breslau) le roi vint au devant de moi ... lorsque vous m'avez vu si attache à mes prédicateurs (Bossuet u. s. w.) ... lisez ce titre, voilà le sujet, sur lequel je viens de travailler. C'était un Sermon sur le jugement dernier ... quelques mois après la bataille de Kolin j'avais composé la moitié de ma pièce édifiante; depuis entraîné par la diversité et par la multitude des affaires je ne m'étais plus occupé de mon sermon ... et rentré maintenant dans la bonne voie je l'ai fini pour votre édification ... il termina ses compositions par ce Sermon sur le jugement dernier, il le corrigea plusieurs fois. Comme la matière est sérieuse, dit-il, je l'ai écrit sur du papier à bord noix. vgl. a. a. O. S. 475 u. 477.

Milit. Nachlass des Gr. Henckel vou Donnersmark 2. 289. 4. IX. 1757. Der König ... vergnügte sich heute damit, eine Predigt über das jüngste Gericht zu schreiben; ich habe dieselbe in den Händen des Abbé de Prades gesehen. Sie führt den Titel : Sermon prononcé un jour devant Mr. l'abbé de Prades par son aumônier le philosophe de l'incrédulité.

69. Réflexions sur les réflexions des géomètres sur la poésie.

Königliches Hausarchiv Autogr. (aus de Catts Nachlass.) Dabei eine Abschrift von d'Alemberts Réflexions sur la poésie; première partie lue le 25 août 1760 mit der Bemerkung von de Catt : C'est à l'occasion de cette pièce que le roi a fait les Réflexions sur les réflexions d'un grand géomètre. (Danach zuerst gedruckt IX., 59.)

An d'Argens, Breslau 18. IV. [62] : vous montrera une critique d'un ouvrage de d'Alembert. Si vous crojez qu'il peut s'eu offenser, Gatt ne la lui enverra pas; toutefois vous fera-t-elle rire. d'Argens art den König 26. III(!) 62 : j'ai lu avec un plaisir infini votre réponse a d'Alembert; il n'y a rien qui doive ni qui puisse le fâcher, c'est une plaisanterie ingénieuse sans fiel et sans aigreur. d'Alembert an den König 27. V. 62 ... permettez-moi ... de lui dire aussi qu'elle est bien ingrate de maltraiter comme elle le fait ... celui de tous les géomètres qui lit et admire le plus vos ouvrages ... je crois donc sans peine ce que V. M. a eu la bonté de me faire dire qu'elle n'a voulu que s'égayer un moment aux dépens des enfants d'Archimède et surtout aux miens.

70. Examen critique du Système de la nature.

Handschrift : von Villaume am 10. II. 87 an Woellner abgeliefert (danach zuerst gedruckt Oeuvres Posth. VI. 139 = IX. 153) seitdem verschwunden.

Im Verzeichnis der von Villaume abgelieferten Handschriften folgt unmittelbar : Remarques sur le Système de la nature; am Schluss der Nachricht an das Publikum in den Berlinischen Zeitungen vom 6. III. 87 in der Übersicht über den Inhalt des Oeuvres Posthumes stehen : Prüfung des Systems der Natur, darauf Bemerkungen über das System der Natur ; jedoch sind letztere nicht mit aufgenommen. Die Handschr. seitdem verschwunden.

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An d'Alembert 7. VII. 70 : à. peine vous avais-je envoyé mes Remarques sur cet Essai des préjugés (vgl. No. 24), qu'un autre livre m'est tombé entre les mains et comme j'étais en train d'examiner des ouvrages philosophiques et d'écrire, j'ai couché ces Remarques par écrit et je vous les envoie. C'est le Système de la nature, où je me suis attaché à relever les contradictions les plus palpables et les mauvais raisonnements qui nfont le plus frappé. d'Alembert dankt und antwortet ausführlich 2. VIII. 70. An Voltaire 7. VII. 70 : un ouvrage de leur boutique (der Encyclopädisten) m'est tombé entre les mains : il m'a paru si téméraire que je n'ai pu m'empêcher de faire quelques Remarques sur le Système de la nature, que l'auteur arrange de sa façon. Je vous communique les Remarques. Voltaire an den König 27. VII. 70 : il me semble que vos Remarques doivent être imprimées, ce sont des leçons pour le genre humain ... Si vous ne voulez pas faire imprimer ces Remarques dans votre capitale ... daignez m'en charger et je les publierai sur le champ. An Voltaire 18. VIII. 70 : lorsque j'eus achevé mou ouvrage contre l'athéisme, je crus ma réfutation très orthodoxe; je la relus et je la trouvai bien éloignée de l'être. Voltaire an den König 20. VIII. 70 : il y a plusieurs copies de votre admirable ouvrage; permettez qu'on l'imprime dans quelque recueil ou à part : car sûrement il paraîtra et sera imprimé incorrectement. An Voltaire 16. IX. 70 : cet ouvrage sur le Système de la nature est trop hardi pour les lecteurs actuels, auxquels il pourrait tomber entre les mains. Je ne veux scandaliser personne: je n'ai parlé qu'à moi-même en écrivant. Mais désqu'il s'agit de s'énoncer en public, ma maxime constante est de ménager la délicatesse des oreilles superstitieuses, de ne choquer personne.

71. Facétie à Mr. de Voltaire. Rêve.

Handschrift : Abschrift von Villanme in der Kais. Privat-Bibl. in St. Petersburg aus Voltaires Nachlass, darauf von Voltaires Hand bemerkt : reçue le 31. décembre 1770. (Danach zuerst gedruckt, XV, 21.)

An Voltaire 12. XII. 70 le damné de philosophe ... se met à rêver et il veut que je vous envoie ses rêveries : pour me débarasser de ses importunités, j'ai été obligé de me conformer à ses volontés. Voici ses fariboles que je joins à ma lettre. An d'Alembert 12. XII. 70 : je vous envoie le Rêve d'un certain philosophe, contre lequel Voltaire est irrité; comme je pressais ce philosophe pour savoir si la vision était sienne, il m'avoua que le petit prophète Waldstorch (Grimm) étant ici la perdit de sa poche en tirant son mouchoir. VOUB pouvez la lui restituer car il n'est pas dans l'ordre qne mon philosophe s'attribue ce qui n'est point à lui. Von d'Alembert 3. I. 71 : V. M. m'en a fait un autre (don) ... c'est celui de sa très plaisante, très-poètique, très spirituelle et très philosophique Facétie. Von Voltaire 11. I. 71 : Grand prophète ... vous faites des miracles, je vous dois réellemeut la vie. J'étais mourant au milieu de ces neiges helvétiques lorsqu'on m'apporta votre sacrée vision; à mesure que je lisais ... mon âme renaissait.

72. Dialogue des morts entre le duc de Choiseul, le comte de Struensee et Socrate.

Handschrift : von Villume am 10. II. 1787 an Woellner abgeliefert. Danach der Druck Oeuvres Posth. (VI, 111 = XIV, 237) seitdem verschwunden.

An den Prinzen Heinrich 26. IX. 72 j'aime quelquefois à m'égayer aus dépens des sots et des méchants dont ce malheureux monde abonde et pour m'amuser j'ai fait un dialogue des morts entre Socrate, Choiseul et Struensee.

73. Dialogue des morts entre le prince Eugène, Mylord Marlborough et le prince de Lichtenstein.

Handschrift : von Villaume 10. II. 87 an Woellner abgeliefert (danach zuerst gedruckt Oeuvres Posth. VI, 189 = XIV 247) seitdem verschwunden.

An Voltaire 29. III. 74 : nous connaissons ici le Taureau blanc mais point le Dialogue du prince Eugène et de Marlborough. dont vous me parlez (der Brief nicht mehr vorhanden). Ou dit que vous en avez fait un, dont les interlocuteurs sont la Vierge et la Pompadour.

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Letzteren erwähnt der König auch au d'Alembert 16. XII. 73 : il paraît ici un dialogue des morts dont les interlocuteurs sont la vierge Marie et la Pompadour; on l'attribue à différents auteurs; je vous l'enverrai, si vous ne l'avez pas, und schickt ihn dann durch Grimm. Vgl. d'Alembert au den König 11. III. 74; 31. X. 74. Unter den von Villaume abgelieferten Handschriften fand sich davun eine Handschrift (Autogr.?), sie scheint sofort vernichtet zu sein.

74. Rêve.

A. Abschrift von Villaume in der Kais.-Privatbibl. in St. Petersburg aus Voltaires Nachlass (danach zuerst gedr. XV, 26).

An Voltaire 9. Juli 77 : Voici un Rêve que je vous envoie, qui peut-être vous amusera un moment. Von Voltaire Aug. 77 : Mr. le grand rêveur, personne n'a jamais fait un plus beau songe que vous. Von d'Alembert 22. IX. 77. en revenant de la campagne ... j'ai trouvé à Paris la nouvelle lettre dont T.M. me daigne honorer ( vom 13. VIII.) et le Rêve très-philosophique qu'elle y a joint.

Unter den von Villaume abgelieferten Handschriften wird ein Rêve aufgeführt, vielleicht von diesem Stück; sie ist für Oeuvres Posth. nicht verwandt und verschwunden.