75. AU MÊME.
Le 1er décembre 1776.
Mon très-cher frère,
Je vous félicite de tout mon cœur du troisième fils qui vient de vous naître,662-a en lui souhaitant, ainsi qu'à son père, mille bénédictions. Vous êtes le maître, mon cher frère, de prier le grand-duc pour être parrain de votre fils. Je vous remercie que vous ayez daigné me choisir de même. Ce qui me fâche, c'est que, écloppé comme je le suis, je ne pourrai pas avoir la satisfaction de me rendre chez vous. Il me faudra bien encore trois semaines pour recouvrer mes forces et l'entier usage de mon pied droit. <581>Mes vœux vous accompagneront toujours, étant avec autant de tendresse que d'attachement, etc.
662-a Voyez t. XXV, p. 72 et 74.