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26. DE M. DE CATT.

Breslau, 16 février 1779.

La charmante Alcmène se porte bien; elle a prévenu par des cris de joie les compliments que j'avais ordre de lui faire. Ne pouvant sortir à cause de la fièvre, j'ai fait chaque jour demander de ses nouvelles.

27. A M. DE CATT.

Silberberg, février 1779.

Voilà vos trois volumes de Vertot. J'expédie un volume chaque jour, et si cela dure, je pourrai bien, en me perfectionnant, en faire autant d'un in-folio; mais il faut du temps encore pour que ma langue acquière assez de rapidité, et mes yeux plus de force, pour aller aussi lestement pour cela. L'on parle ici d'un courrier du prince Repnin, et l'on prétend qu'il est allé chercher la paix à Vienne pour nous l'apporter ici. Si cela est, votre seconde prophétie sera plus sûre que la première. Je vous prie de m'envoyer les deux premiers volumes des Orationes Ciceronis. Dans peu je renverrai également l'Ingénu. Vale.

28. AU MÊME.

(Silberberg) 25 février 1779.

Grand merci pour Cicéron; c'est une bonne nourriture pour l'âme, et que je relis toujours avec plaisir. Voilà donc la paix qui va se faire. Les prophètes font bien d'avoir de doubles pro-