78. AU MÊME.

Berlin, 18 janvier 1778.

Monsieur le comte de Hoditz, autant que le nouvel exposé de vos sentiments m'a fait plaisir, avec autant de peine ai-je appris par votre lettre que mylord Marischal a eu une attaque d'apoplexie. Je souhaite bien ardemment que celle-ci n'ait point de suites, et que plutôt, à mon retour, j'aie la consolation de vous trouver tous les deux dans un état de convalescence qui me permette d'espérer de posséder encore longtemps deux personnes d'un mérite et d'un attachement aussi distingué. Sur ce, etc.