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7. AU MÊME.

Breslau, 8 septembre 1765.

Monsieur le comte de Hoditz, je vous remercie des beaux fruits que vous m'avez envoyés, mais bien plus encore des sentiments d'attachement que vous témoignez avoir pour moi. Je suis sensible aux pertes que vous pouvez avoir faites par l'incendie que vous me marquez qu'il y a eu chez vous; je vous félicite toutefois que vous n'y ayez pas fait de plus grandes pertes, et que votre château n'ait pas été brûlé. Sur ce, etc.

242-bJe vous plains de tout mon cœur du malheur qui vient de vous arriver à Rosswalde, et je souhaite que la divine providence veille sur vous et sur tout ce qui vous appartient.


242-b De la main du Roi.