<279>V. M. et de ses royaumes ne serait jamais compté au rang de mes amis.

Je suis avec la plus haute considération,



Monsieur mon frère,

de Votre Majesté
le bon frère,
Federic.

28. DE MYLORD MARISCHAL.

Valence, 24 mars 1759.

.....aVous m'avez fait le plus grand bonheur qu'on peut faire à un homme, en disant que vous répondrez de moi. Je ne vous tromperai pas, Sire, ni le roi d'Angleterre; il peut en être bien sûr. Selon les gazettes, il m'a accordé ma grâce, etc.

29. A MYLORD MARISCHAL.

Landeshut, 11 mai 1759.

Je ne sais pas, mon cher mylord, si jamais je mangerai des melons de vos graines, mais je sais bien que nous avons eu ici, le 24 de mars, dans les montagnes, deux pieds de neige. Cet endroit fait un poste excellent vis-à-vis de l'ennemi, mais, au demeurant, un séjour très-désagréable. Les opérations de mon frère Henri en Bohême ont été aussi heureuses que l'expédition du prince Ferdinand contre les Français a mal tourné. J'ai donné


a Ce fragment répond à la lettre précédente, que Frédéric avait communiquée à mylord Marischal.