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114. A LA MÊME.

Le 16 octobre 1785.



Madame,

Je suis très-obligé à la reine Julie de la bonté qu'elle a de se ressouvenir de moi. J'ai eu un long accès de goutte, qui est passé; il m'a fort affaibli, et les forces ne se réparent que lentement à mon âge. Je vous prie de lui marquer et ma reconnaissance, et le sincère attachement que je conserverai sans cesse pour sa personne. Je suis avec toute l'estime, etc.

115. A LA MÊME.

Le 29 octobre 1785.



Madame,

Je vous suis fort obligé de la part que vous prenez à ma santé; elle a été assez mauvaise, et la faiblesse que la goutte a produite me reste encore. J'ai trouvé le prince Ferdinand fort bien; sa santé est meilleure qu'elle n'était il y a quelques années; elle donnait alors lieu de craindre pour lui. Je lui souhaite mille biens. Je vous prie de me croire avec toute l'estime et la considération, etc.