<4> ici à une infinité de bagatelles, j'irai pour quelques jours à Remusberg vaquer à mes affaires. Je vous prie de me croire du reste tout à vous.

Federic.

2. A LA MÊME.

Ruppin, 20 juin 1739.



Madame,

Je vous rends mille grâces de l'exactitude avec laquelle vous daignez vous acquitter des petites commissions que j'ai pris la liberté de vous donner. Oserais-je vous prier encore de rendre cette lettre à Truchs?a Le jeune Lövenörn est arrivé ici, et il ira demain avec moi à Remusberg; je lui ferai passer le temps le plus agréablement qu'il me sera possible, et j'espère de le renvoyer content.b Knobelsdorffc et moi, nous avons pris toutes les mesures pour le changement des chambres, et je me flatte que vous en serez satisfaite à votre retour.

Adieu; je vous souhaite bien du plaisir, vous priant de me croire tout à vous.


a Le comte de Truchsess-Waldbourg. Voyez t. II, p. 126; t. III, p. 130; t. XVI, p. 89; t. XVII, p. 65; et t. XVIII, p. 159.

b Voyez t. XX, p. 125.

c Voyez t. VII, p. 37-42.