75. AU MÊME.

Potsdam, 26 septembre 1777.

Monsieur le comte de Hoditz, vous ne cessez de me fournir de nouvelles preuves bien agréables de vos sentiments de dévotion et de zèle. L'on ne saurait être plus sensible que je le suis à celles que renferme votre lettre d'hier, qui les exprime de la manière la plus flatteuse. Je les agrée avec le même plaisir que mon rétablissement vous a causé, et je désire, en retour, de vous voir vivre en bonne santé dans la retraite que vous vous êtes choisie, sans qu'aucune incommodité ni inquiétude puisse altérer le contentement et le bien-être dont vous jouissez aujourd'hui à ma grande satisfaction. Sur ce, etc.