<282> vous regarde. Je suis ravi d'apprendre la satisfaction que vous éprouvez dans votre particulier; elle ne manquera pas d'influer avantageusement sur votre santé, ce qui me fera plaisir. Sur ce, je prie Dieu, etc.

aBon courage, mon cher comte, prenez des médecines, guérissez-vous, et vous aurez encore du plaisir dans le monde, tandis que vous y vivrez.

77. AU MÊME.

Potsdam, 17 décembre 1777.

Monsieur le comte de Hoditz, si j'ai eu beaucoup de plaisir à vous faire éprouver quelque effet de ma bienveillance et de mon estime, je n'en ressens pas moins à la lecture de la lettre que vous venez de m'écrire, et suis sensible à la gratitude que vous m'y témoignez. Sur ce, etc.

78. AU MÊME.

Berlin, 18 janvier 1778.

Monsieur le comte de Hoditz, autant que le nouvel exposé de vos sentiments m'a fait plaisir, avec autant de peine ai-je appris par votre lettre que mylord Marischal a eu une attaque d'apoplexie. Je souhaite bien ardemment que celle-ci n'ait point de suites, et que plutôt, à mon retour, j'aie la consolation de vous trouver tous les deux dans


a De la main du Roi.