<158>Ici, à la revue, il y a eu du haut et du bas. Ce n'est ni comme à Berlin, ni comme à Stettin; mais il faut que cela vienne. Adieu, mon cher ami; je vous embrasse tendrement.

47. AU MÊME.

Le 26 juin 1765.

Je vous envoie, mon cher ami, quelques fruits de Sans-Souci; j'ai encore quelque chose pour vous, que je voudrais vous donner à vous-même. La cour de Brunswic vient ou arrive ici le 10 du mois prochain. Voilà le temps, mon cher, dont je puis disposer; c'est à vous de choisir le vôtre. Adieu, mon cher ami; je vous embrasse.

48. DU BARON DE L. M. FOUQUÉ.

Brandebourg, 27 juin 1765.



Sire,

Depuis l'existence de Brandebourg, on n'y a point vu paraître, selon toute apparence, dans la saison présente les différentes sortes de fruits que V. M. vient de m'envoyer. Vous y ajoutez, Sire, l'ordre de venir en cueillir moi-même, et je n'y manquerai sûrement pas.

Le sieur Cothenius m'ayant mis aux bains depuis quinze jours, ce qui ne laisse pas de me soulager, je supplie V. M. d'en permettre la continuation jusqu'à samedi prochain, afin que j'aie, le dimanche