<140>plus que de bien terminer le dernier acte de la scène, auquel je me flatte que votre présence mettra le comble. Je suis avec toute l'estime imaginable, madame ma cousine, etc.

8. A LA MÊME.

(Sans-Souci, 13 juin 1770.)



Madame ma cousine,

Je suis charmé, ma chère landgrave, de vous savoir arrivée en bonne santé, et j'ose vous prier d'honorer, ce midi, ma vigne de votre présence. J'aurai le plaisir de pouvoir vous entretenir moi-même, et de prévoir avec vous ce que d'heureux destins vous annoncent. Vous priant de me croire avec autant d'attachement que de considération, madame ma cousine, etc.

9. A LA MÊME.

(3 août 1770.)



Ma chère grand' maman,

Je vous ai tant d'obligation du jour que je vois, que je ne puis m'empêcher de vous en témoigner ma reconnaissance. Voici ce que je vous ai apporté de je ne sais d'où je viens; conservez-le, je vous prie, ma bonne maman-grand, pour vous ressouvenir de moi. Quand je pourrai parler, je vous en dirai davantage.

Le nouveau venu.a


a Voyez t. VI, p. 25; t. XX, p. 197; t. XXIV, p. 222 et 225; t. XXVI, p. 367; et ci-dessus, p. 129 et 131. Voyez aussi l'Appendice de cette correspondance.