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XII. LETTRES DE FRÉDÉRIC A LA COMTESSE DE SKORZEWSKA. (11 FÉVRIER 1767 - 17 SEPTEMBRE 1773.)[Titelblatt]

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1. A LA COMTESSE DE SKORZEWSKA.

Potsdam, 11 février 1767.



Madame la comtesse de Skorzewska,

Je suis sensible à la lettre que vous m'avez écrite pour me marquer votre contentement des attentions qu'on a eues pour vous pendant le séjour que vous avez fait à Berlin. Mais, quelque disposé que je sois à vous faire plaisir, je ne saurais cependant en ce moment me prêter à faire faire auprès de Sa Majesté Polonaise l'insinuation que vous souhaiteriez, pour obtenir à votre mari une des starosties qui viendront à vaquer; et je me réserve d'autres occasions pour vous prouver le cas que je fais des prières qui me sont adressées de votre part. Et sur ce, je prie Dieu qu'il vous ait, madame la comtesse de Skorzewska, en sa sainte et digne garde.

2. A LA MÊME.

Potsdam, 24 juillet 1767.



Madame la comtesse de Skorzewska,

J'ai vu, par votre lettre du 19 de ce mois, que vous seriez bien aise de savoir mon sentiment, s'il conviendrait que votre mari se chargeât des fonctions de maréchal que la confédération à former dans la Prusse polonaise voudrait lui déférer; et je vous dirai sans détour que, comme votre mari n'ignore sans doute pas ce qui saurait lui convenir à cet égard, je ne me trouve aucunement <608>à même de le conseiller là-dessus. Il me semble cependant que s'il s'y prêtait, il faudrait que ladite confédération n'eût pour objet que l'affaire concernant les dissidents, sans quoi, si elle portait sur d'autres matières, il risquerait de se faire nombre d'ennemis.666-a Et sur ce, etc.

3. A LA MÊME.

Charlottenbourg, 4 mai 1768.



Madame la comtesse de Skorzewska,

Je suis très-sensible à la confiance que vous me témoignez dans votre lettre du 20 avril dernier; et pour y répondre, je ne saurais vous dissimuler que votre mari fera très-sagement de rester entièrement tranquille, et de ne prendre aucune part aux différentes confédérations qui se forment en Pologne, et qui ne sauraient que reculer le rétablissement de la tranquillité dans ce royaume. Sur ce, etc.

4. A LA MÊME.

Potsdam, 27 septembre 1768.



Madame la comtesse de Skorzewska,

Les sentiments que vous me témoignez dans votre lettre du 23 de ce mois me sont infiniment agréables, et vous pouvez compter que ce sera toujours avec beaucoup de plaisir que je saisirai les occasions qui se présenteront pour faire connaître le cas que je fais de votre mérite. Pour vous en convaincre, j'accepte très-<609>volontiers la place de parrain que vous venez de m'offrir auprès de votre fils nouveau-né,667-a et j'ai chargé mon lieutenant-général de Ramin de me représenter en cette qualité au baptême.667-b Je forme en même temps des vœux pour que vous releviez heureusement de vos couches, et que vous ayez la satisfaction d'élever ce fils à votre joie et consolation. Sur ce, etc.

5. A LA MÊME.

Potsdam, 5 octobre 1768.



Madame la comtesse de Skorzewska,

Votre lettre d'hier m'a été fidèlement rendue, et je suis très-sensible aux sentiments que vous m'y témoignez. Mais les propositions dont on vous a chargée sont de nature que je ne saurais les écouter, et encore moins m'y prêter. Les engagements que j'ai contractés avec l'impératrice de Russie, et qui sont connus à vos commettants, ne me permettent pas de me mêler des troubles dont votre patrie est agitée actuellement. Le meilleur serait de les pacifier promptement, et le moyen qui me paraît le plus propre d'y parvenir serait que les confédérés s'entendissent amicalement avec la cour de Russie sur les différents griefs qu'ils prétendent avoir réciproquement. C'est tout ce que je puis vous dire en réponse à votre commission; et sur ce, je prie Dieu, etc.

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6. A LA MÊME.

Potsdam, 12 novembre 1768.



Madame la comtesse de Skorzewska,

Je ne saurais qu'applaudir au zèle que vous faites paraître dans votre lettre du 10 de ce mois pour terminer les troubles qui déchirent votre patrie. Mais le malheur est que vous ne sauriez plus vous promettre d'heureux succès. Il est toujours plus facile de former que d'exécuter de pareils projets d'accommodement, et dans la position actuelle des affaires, ce serait peine perdue de vouloir faire le médiateur entre les Russes et les confédérés. Il y a un an qu'il aurait fallu prendre des dispositions aussi pacifiques, et on aurait pu se flatter de rapprocher les esprits. Mais à présent que le feu de la discorde a gagné partout, et que l'animosité est portée à son comble, ce serait vouloir se faire illusion de gaité de cœur que de s'imaginer seulement qu'on pût y réussir. Les Russes sont en marche, et les Turcs également.668-a Il n'y a donc plus que la supériorité des uns ou des autres qui décidera le sort de la Pologne. En attendant, vous pouvez compter que je m'intéresserai toujours au vôtre, et que, s'il est tel que je le souhaite, il sera toujours heureux et proportionné à vos mérites. Et sur ce, etc.

7. A LA MÊME.

Potsdam, 5 décembre 1768.

J'ai reçu, madame la comtesse de Skorzewska, votre lettre du 4 de ce mois, et vous avoue en réponse que vous aurez de la peine à persuader le monde que votre mari ait été forcé par les confédérés d'accepter la charge de grand maréchal, comme vous me l'annoncez. La conduite qu'il a tenue fit bien soupçonner <611>le parti qu'il a pris. Il s'en promet peut-être de grands avantages; mais les circonstances me font bien augurer le contraire, et craindre qu'il ne fasse son malheur et celui de toute sa famille; et vous jugez bien que tout ce que je pourrai alors faire en votre faveur sera de vous plaindre, comme je fais déjà bien d'avance. Pour ce qui est des trois gentilshommes qui ont été arrêtés avec les brigands qui ont pillé un moulin dans la Nouvelle-Marche, et dont il y en aura sûrement de pendus, ils sont entre les mains de la justice, où ils n'ont qu'à se justifier. Je ne saurais les relâcher plus tôt. On ne viole pas mon territoire impunément. Sur ce, etc.

Vous êtes plus heureuse en philosophie que votre mari en politique. 669-a

8. A LA MÊME.

Potsdam, 11 mars 1769.



Madame la comtesse de Skorzewska,

J'aime trop à vous obliger pour ne pas déférer à votre demande du 10 de ce mois. J'ai ordonné en conséquence à mon résident Benoît, à Varsovie, de faire son possible pour obtenir à votre époux la permission de rester tranquillement à Driesen, sans fournir à son régiment les avances dont il pourrait avoir besoin pendant ce temps de troubles. Mais j'ignore si l'on y fera attention, et j'ai même quelque pressentiment que mon crédit en Pologne ne s'étendra pas si loin. Il faut faire ce qu'on peut, et vous êtes trop équitable pour exiger davantage. Nous verrons comment on s'expliquera sur mon intercession. Je vous communiquerai la réponse, telle qu'elle me parviendra. Et sur ce, etc.

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9. AU COMTE DE SKORZEWSKI.

Potsdam, 11 avril 1769.



Monsieur le comte de Skorzewski,

Disposé comme je suis à vous accorder un asile assuré dans ma ville de Driesen contre les malheurs de la guerre qui ravage actuellement votre patrie, les remercîments que vous me faites dans votre lettre du 6 de ce mois me sont entièrement agréables, et vous pouvez compter que vous y jouirez, avec toute votre famille, d'une tranquillité aussi parfaite que durable.

En attendant, j'ai eu la satisfaction d'obtenir pour vous un congé de six mois, et la commission de guerre, à Varsovie, ayant eu l'attention de me le faire tenir en original, je n'ai pas tardé de l'adresser, il n'y a que deux jours, à madame votre épouse. Mais ladite commission m'ayant fait connaître en même temps que vous aviez eu d'autant moins de sujet de vous plaindre des avances qu'elle vous avait imposées pour la subsistance de votre régiment, que tous les chefs des autres régiments, jusqu'aux deux grands généraux même, avaient été obligés de les fournir, je n'ai pu m'empêcher de faire également mention de cette observation dans ma lettre, quoique d'ailleurs, et après que votre régiment s'est rendu aux confédérés, cette besogne ne vous sera plus à charge. Sur ce, etc.

10. A LA COMTESSE DE SKORZEWSKA.

Potsdam, 18 avril 1769.



Madame la comtesse de Skorzewska,

Le tableau que vous venez de me faire, dans votre lettre du 13 de ce mois, de tous les maux que les confédérés vous font éprouver est bien attendrissant. Il a excité toute ma compassion, et je <613>serais charmé de les alléger. Mais c'est au temps seul à amener le remède désiré, et il ne me reste que des vœux à former pour que l'heureux moment arrive bientôt où vous pourrez de nouveau rentrer dans la jouissance paisible de vos biens. J'ai quelque pressentiment favorable que mes vœux ne tarderont pas d'être accomplis. J'ai lieu d'espérer que la guerre qui ravage actuellement votre patrie ne sera pas de longue durée, et qu'une bonne paix vous ramènera dans le sein du repos. En attendant, vous pourrez au moins couler des jours plus tranquilles que par le passé dans l'asile que je vous ai accordé dans nus États,672-a et je souhaite que vous y jouissiez de toutes les douceurs dont il peut être susceptible. Sur ce, je prie Dieu, etc.

11. A LA MÊME.

Potsdam, 30 juillet 1769.



Madame la comtesse de Skorzewska,

Je suis bien fâché de voir, par votre lettre du 28 de ce mois, les inquiétudes dans lesquelles vous vous trouvez par rapport à quelques-unes de vos lettres interceptées des Russes. Dans les temps critiques où les affaires de la Pologne sont, le plus sûr parti était celui de ne se mêler d'aucune correspondance. Je vous l'ai assez souvent conseillé. Vous n'avez pas jugé à propos de suivre mes avis. C'est à présent à vous-même qu'il faudra vous prendre des mauvaises suites que vous en appréhendez, et qui en pourraient bien résulter. Je ne sais si elles seront à détourner; mais faites-moi tenir copie de vosdites lettres interceptées, et je verrai si leur contenu sera de nature qu'il y aura encore moyen de calmer l'orage qui vous menace. Sur ce, etc.

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12. A LA MÊME.

Potsdam, 14 août 1770.



Madame la comtesse de Skorzewska,

J'ai reçu la lettre de félicitation que vous m'avez bien voulu écrire le 9 de ce mois sur la naissance du prince que ma nièce la Princesse de Prusse vient de mettre au monde; et très-sensible à la part que vous me témoignez à cet heureux événement, je vois, d'un autre côté, à regret la douleur que vous éprouvez à la situation maladive de votre mari, dont cependant vous augurez peut-être trop tôt une fâcheuse issue. Au moins je le souhaite sincèrement, et prie au reste Dieu, etc.

13. A LA MÊME.

Berlin, 6 janvier 1771.



Madame la comtesse de Skorzewska,

Si vous réfléchissez bien sur la nature de votre demande du 5 de ce mois, je suis persuadé que vous ne serez pas longtemps sans y renoncer. Les troupes que j'ai fait avancer en Pologne garantissent, entre autres, aussi vos terres des incursions des confédérés, et les mettent à l'abri de la peste et des autres maux qui continuent à désoler votre patrie; et, vu tous ces avantages, il me paraît bien conforme à l'équité qu'elles contribuent aussi à l'entretien de ces mêmes troupes, leurs anges tutélaires, par des vivres et autres livraisons. Aussi ne saurais-je en aucune façon leur accorder l'exemption que vous me demandez; et je me réserve plutôt à une autre occasion plus favorable de vous faire éprouver les effets de ma bienveillance royale. Sur ce, etc.

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14. A LA MÊME.

Potsdam, 24 mars 1771.



Madame la comtesse de Skorzewska,

Je suis charmé d'apprendre par votre lettre d'hier l'innocence de votre famille et son éloignement parfait des confédérés. Vous l'avez pleinement justifiée du reproche qu'on voulait lui faire à cet égard, et votre apologie m'a fait d'autant plus de plaisir, qu'elle rend un nouvel éclat à votre mérite personnel. Vous le savez, madame, on aime à trouver à l'abri des reproches ceux qu'on estime. Mais ce qui me fait le plus de peine, c'est que, nonobstant votre innocence, je ne saurais m'intéresser pour faire obtenir à votre époux la starostie de Cztuchow. Dans les troubles actuels dont votre patrie est déchirée, mon intercession serait hors de saison. Elle resterait au moins sans effet, et j'aime mieux réserver à d'autres occasions plus favorables de vous faire éprouver les effets de ma bienveillance. Sur ce, etc.

15. A LA MÊME.

Potsdam, 28 octobre 1771.



Madame la comtesse de Skorzewska,

J'ai reçu votre lettre du 20 de ce mois; et quelque compatissant que je puisse être aux plaintes que vous m'y faites sentir sur les malheurs qui accablent votre patrie, vous ne pourrez cependant raisonnablement vous en prendre qu'à la conduite outrée des confédérés, puisque ce n'en est qu'une suite que je vous ai prédite, si vous vous en souvenez bien, et que si les confédérés persistaient dans leur entêtement à vouloir détrôner leur roi, ils pourraient bien avoir affaire avec les puissances qui lui ont ga<616>ranti le trône. Voilà à présent le cas, et auquel je veux bien encore ajouter que si ces confédérés ne changent pas bientôt de sentiment, ils mettront le comble aux malheurs qui abîment la Pologne. Je plains d'avance vous, comtesse, et tous les honnêtes Polonais; mais je n'y saurais point remédier. Sur ce, etc.

16. A LA MÊME.

Potsdam, 8 mai 1772.



Madame la comtesse de Skorzewska,

Vos deux lettres du 25 d'avril dernier, l'une physique, l'autre économique, m'ont été fidèlement rendues. Des Cartes et Gassendi n'auraient pu mieux traiter la question qui fait l'objet du mémoire que vous m'avez présenté à la suite de la première, et c'est bien diriger vos talents par des vues utiles à l'humanité. C'est tout ce que je puis vous dire à ce sujet. Votre modestie m'impose silence, et je lui obéis à regret. Je passe au contenu de votre seconde lettre, qui regarde le transport de cent winspels de grains que vous avez déposés à Driesen, et que vous voudriez vendre en Saxe. Quelque plaisir que je trouve à vous obliger, il faut pourtant que je vous demande un petit délai pour consentir à ce transport. Vous savez, madame, que les grains n'abondent pas trop dans mes propres Etats, et que, en père de la patrie, je ne saurais en permettre la sortie qu'après avoir suffisamment pourvu à leurs besoins. Dans un mois d'ici, je pourrai en mieux juger; et si alors je puis déférer à votre demande sans risque pommes propres États, je le ferai avec le même plaisir avec lequel je saisis les autres occasions qui se présentent de vous obliger. En attendant, je prie Dieu, etc.

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17. A LA MÊME.

Potsdam, 19 septembre 1772.



Madame la comtesse de Skorzewska,

Très-sensible à l'obligeante lettre que vous m'avez bien voulu écrire sous le 10 de ce mois, je crois n'y pouvoir mieux répondre qu'en vous assurant que, me félicitant d'être devenu, ces jours passés, de vos proches voisins, je désire d'entretenir un si bon voisinage avec vous, que jamais désunion n'osera troubler ni déranger la sincère disposition où je suis de ne vous donner que des sujets d'en être parfaitement satisfaite, et de ne pas méconnaître cet ancien ami qui ne cesse point de prier Dieu, etc.

18. A LA MÊME.

Potsdam, 12 mars 1773.



Madame la comtesse de Skorzewska,

Votre affliction sur le danger qui menace les jours de votre époux es! bien légitime, et je sens parfaitement tout l'embarras de votre situation dans la triste perspective que sa griève maladie vous offre. Mais je me flatte en même temps que votre philosophie et votre religion vous soutiendront dans cette épreuve, et que vous saurez mettre des bornes à votre juste douleur, afin de vous conserver au moins à vos enfants, au cas que leur père dût effectivement succomber à sa maladie. Peut-être cependant y a-t-il encore moyen de le rétablir, et je le souhaite. Mais, en attendant, vous pouvez compter que je tâcherai, autant qu'il dépendra de moi, de remplir ma promesse, et de m'intéresser en sa faveur à la diète prochaine de Pologne, pour lui faire obtenir la permission de vendre son régiment. Sur ce, etc.

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19. A LA MÊME.

Potsdam, 10 septembre 1773.



Madame la comtesse de Skorzewska,

Je sens tout ce qu'il y a d'accablant dans la situation où la mort de votre époux vous a plongée,677-a et j'y proportionne ma compassion. Quelque douloureux cependant que soient les efforts pour supporter cette perte, la résignation à la Providence, le bien de votre famille et votre propre tranquillité exigent néanmoins de les faire; et je souhaite de tout mon cœur que vous trouviez toutes les consolations dont vous avez besoin. Donnez à votre juste douleur tout le temps que les droits de la nature vous demandent; mais souvenez-vous en même temps que vous avez une famille qui a besoin de votre appui, et à laquelle votre conservation est d'un prix infini. S'il ne dépendait que de moi d'alléger vos peines, je m'y emploierais avec empressement; mais je n'y vois jusqu'ici aucun moyen, et pour ce qui est du régiment de votre époux défunt, je ne saurais non plus être garant que votre fils l'obtienne. Sur ce, etc.

20. A LA MÊME.

Potsdam, 17 septembre 1773.



Madame la comtesse de Skorzewska,

Très-sensible aux regrets que vous me témoignez, par votre lettre du 14 de ce mois, d'être obligée de rester avec la plus grande partie de vos biens sous la domination polonaise, événement que <619>les circonstances ont déterminé et rendent inévitable, vous pouvez toujours compter que je ne resterai pas moins de vos amis, et parfaitement disposé à vous en donner les marques les moins équivoques. Et quoique je n'aie pas, à vous dire le vrai, tout ce crédit auprès du roi de Pologne que vous me croyez bien, je ne laisserai cependant pas de m'intéresser toujours vivement en votre faveur, ne fût-ce que pour vous confirmer les effets de ma bienveillance, de laquelle voulant encore vous réitérer ici les assurances, je prie Dieu, etc.


666-a Voyez t. VI, p. 18 et suivantes.

667-a Voyez t. XX, p. 23.

667-b La comtesse de Skorzewska était alors à Berlin.

668-a Voyez t. VI, p. 18 et suivantes.

669-a De la main du Roi.

672-a A Driesen. Voyez Leben Franz Balthasar Schönberg von Brenkenhoff. Leipzig, 1782. p. 66-68.

677-a La comtesse de Skorzewska, devenue veuve en 1773, et non en 1770, comme nous lavons dit par erreur t. XX, p. III, ne survécut que deux mois à son mari.