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15. AU MÊME.

Potsdam, 20 mars 1768.

Monsieur le comte de Hoditz, j'ai bien reçu votre lettre du 14 de ce mois. J'y vois avec plaisir les soins que vous m'y marquez avoir pris pour me faire parvenir les myrobolans que je désire. Je vous en sais un gré parfait, et serai très-charmé de vous en prouver ma reconnaissance. Sur ce, etc.

aJ'espère que vous pourrez à présent obtenir la permission de la cour de Vienne pour faire un voyage ici.

16. AU MÊME.

Potsdam, 7 avril 1768.

J'ai reçu, monsieur le comte de Hoditz, les arbrisseaux dont vous avez bien voulu accompagner votre lettre du 31 mars dernier. C'est un grand présent pour moi, dont je vous remercie de bon cœur, souhaitant de même de pouvoir un jour vous en présenter des fruits. Si au reste il y a quelque chose ici, dans mon jardin, qui vous puisse faire plaisir, vous n'avez qu'à me le dire et être persuadé que vous ne serez pas refusé. Sur ce, etc.

17. AU MÊME.

Potsdam, 11 juillet 1768.

Monsieur le comte de Hoditz, je vous adresse avec celle-ci le stucateur Sartori, qui a ordre de s'instruire chez vous comment préparer et employer cette espèce de verre dont vous avez fait gar-


a De la main du Roi, probablement.