<207>moigner par là. Je vous en remercie, et je verrai avec satisfaction les occasions pour vous en marquer ma reconnaissance.

16. AU MÊME.

Potsdam, 13 juillet 1755.

Bien content de l'honneur que l'on vous a fait de vous conférer une place d'associé étranger à l'Académie de Paris, je vous donne avec plaisir l'agrément que vous me demandez pour pouvoir l'accepter, et je vous renvoie ci-joint la lettre que vous avez reçue du comte d'Argenson à ce sujet.a

17. AU MÊME.

Waldow, 15 septembre 1759.

aJe vous remercie des petites lunettes d'approche qui me sont arrivées à la suite de votre lettre du 14 de ce mois, et je loue le soin que vous prenez de rendre utile aux hommes la théorie que vous fournit votre étude et votre application aux sciences. Comme mes occupations présentes ne me permettent pas de les examiner avec l'attention que mérite tout ce qui me vient de votre part, je me réserve à le faire quand j'en aurai plus de loisir. Sur ce, etc.


a La lettre du comte d'Argenson à Euler, datée de Versailles, 15 juin 1755, se trouve dans l'Éloge de monsieur Léonard Euler, par Nicolas Fuss. Saint-Pétersbourg, 1783, in-4, p. 56.

a De la main du Roi.