<296>ciel permettra que je fasse fin ici aux horreurs de la guerre, et que je puisse, dans le sein de ma patrie et de ma famille, jouir de la douceur du commerce de mes amis, et donner aux sciences les moments que je ne dois point à l'État.

Adieu, cher Duhan : soyez persuadé que je vous aime de tout mon cœur.

Federic.