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30. AU MÊME.

Le 22 janvier 1770.



Monsieur mon cousin,

Je remercie infiniment Votre Altesse de la part qu'elle prend à mon vieux jour de naissance. Il a donné la vie à une personne qui vous aime bien cordialement, et qui prend un intérêt bien vif atout ce qui vous regarde. Je suis d'ailleurs charmé d'apprendre, par les lettres mêmes de ma nièce, l'entière conviction de sa convalescence, en vous assurant, mon cher prince, de la tendresse et de l'estime infinie avec laquelle je suis, etc.

31. AU MÊME.

(Août 1770.)



Monsieur mon cousin,

Je remercie Votre Altesse de la part qu'elle prend à la naissance de mon arrière-neveu.a Je souhaite de pouvoir vous féliciter bientôt de même sur la naissance d'un fils, prenant toute la part possible à ce qui vous regarde. J'ai été bien aise de pouvoir vous être de quelque utilité dans les différends que la république a eus avec l'Électeur palatin, me faisant un plaisir, dans toutes les occasions, de vous donner des marques de l'estime et de l'amitié parfaite avec laquelle je suis, etc.


a Voyez ci-dessus, p. 129. Le prince Frédéric-Guillaume régna plus tard sous le nom de Frédéric-Guillaume III.