<657>rets ou contribuer à votre satisfaction, et vous convaincre de plus en plus, mon très-cher frère, qu'on ne saurait rien ajouter à la vivacité et à la tendresse des sentiments avec lesquels je ne cesserai jamais d'être, etc.

Si vous voulez me faire le plaisir, mon cher frère, de venir ici la semaine prochaine avec la princesse, mardi ou mercredi, j'aurai la satisfaction de rassembler ici une partie de la famille et de vous embrasser.

67. AU MÊME.

Potsdam, 29 juin 1775.



Mon très-cher frère,

J'attends ici, le 11 de juillet, mesdames la landgrave de Hesse-Cassela et la princesse épouse du duc Eugène de Würtemberg,b vos belles-sœurs; et vous me ferez un plaisir bien sensible, mon très-cher frère, si vous voulez vous rendre également ici ce jour-là avec ma chère nièce votre épouse, pour prendre part à la joie que je ressentirai de voir rassemblée auprès de moi toute la famille de notre chère sœur défunte.c Je vous attends avec un empressement conforme à cette tendresse fraternelle avec laquelle je suis invariablement, etc.


a Voyez ci-dessus, p. 64.9.

b Frédéric-Eugène, duc de Würtemberg-Montbelliard. Sa femme, la princesse Frédérique de Brandebourg-Schwedt, était sœur de la princesse Ferdinand.

c La margrave Sophie de Schwedt. Voyez ci-dessus, p. 630 et 632.